La dernière note

Bon ben c'est pas la peine de tourner autour du pot 10 000 ans, voilà, j'ai changé de blog. Il me fallait un nouveau truc, je sais pas, quelque chose. Bref, tout recommence ici :





J'espère tous vous y retrouver, à très bientôt !

Do you Coopé ?





En m’installant à Clermont, j’ai eu peur. Peur que les artistes ne viennent pas se perdre en plein cœur de l’Auvergne ; et peur qu’en termes de concerts je n’aie le choix qu’entre Patrick Sébastien et Chantal Goya. Sauf que je me suis trompé. Clermont possède une des salles françaises préférées des artistes : la Coopérative de Mai. Ou la Coopé, pour les intimes. (rien à voir avec Jean-François, je vous rassure)


Ndidi Onukwulu - He Needs Me



Et sa programmation est vraiment excellente. Des petits groupes pas connus, des artistes renommés, il y a de tout et surtout de la bonne zik’ ! J’ai pu le constater encore ce lundi en allant au festival « Les femmes s’en mêlent », que l’on peut rapidement transformer en « Les filles sont belles » comme s’est emmêlé (justement) ma collègue Marie.

Il y avait là Battant, un trio anglais d’électro-rock comme un mélange entre Patti Smith et Bjork, puis Soldout, un duo belge d’électro « pure », et enfin les cinq petites suédoises de Those Dancing Days (TDD). Je n’étais venu au départ que pour TDD, découverts il y a quelques mois, mais j’ai été agréablement surpris par les deux autres groupes. Ils étaient tous très biens. J’ai même eu l’impression que les gens étaient venus principalement pour ces deux groupes et leur musique un peu plus « sale » que la pop joyeuse des suédoises (que je ne vois pas du tout chanter le tube de Soldout intitulé « I don’t want to have sex with you »).

Mais, ce n’est pas pour autant que je n’ai pas aimé TDD. Au contraire, j’ai adoré ! Elles étaient là, avec leur fraîcheur, leurs joues roses, leurs collants noirs et leurs jupes blanches et légères. Elles sautaient partout, sans chaussures, jouaient du xylophone et donnaient de la joie de vivre à toute la salle du haut de leurs 17 ou 18 ans. La chanteuse avait une voix grave et profonde comme Adele ; la pianiste, récemment teinte en blonde, me plaisait beaucoup, elles étaient toutes joyeuses et sont venues écouter les autres concerts avec nous. Le blues, c’est pas compliqué, tu vas dans un champ, tu cries ; mais la pop c’est nettement plus difficile, il faut savoir faire de la musique joyeuse, colorée et dansante sans tomber dans la mièvrerie et la simplicité. Ces petites là, elles, ont réussi …




Et puis je crois que j’étais d’autant plus content que je l’ai mérité ce concert. En y allant à pied, je me suis retrouvé à escalader une barrière sur un pont pour sauter plus bas et éviter de continuer dangereusement sur la route (et éviter de tout refaire en sens contraire). Et si j’ai bien escaladé la barrière, je me suis par contre nettement moins bien réceptionné en contre-bas en me faisant graaave mal au pied droit. Le concert m’attendait, alors j’ai quand même continué ma route en boitant. Et de retour chez moi vers minuit et demi, j’ai effectivement remarqué que j’avais un orteil rouge foncé, du genre moche, et que ma douleur était probablement due à ça.

J’ai pris de l’arnica, je me suis couché et je me suis tapé la honte en essayant d’expliquer le lendemain à ma jolie pharmacienne que « j’ai un hématome rouge-noir, mais du genre moche et énorme, je serai pas venu sans ça, vous pensez-bien ; oui, en tombant, mais j’ai fait exprès hein ; enfin, pas « exprès », mais j’ai escaladé une barrière et je suis retombé en contre-bas. Oui. Et c’était très haut, plusieurs mètres au moins (facile !). Non non, j’ai pas mal, bien sûr que non, c’est juste pour assurer, ça semblait tellement grave sur le coup. (et j’ai même pas pleuré) » … ahem …

Bref, une soirée riche en aventure et en musique. Je n’ai pas eu le temps de demander à Linnea, Lisa, Rebecka, Mimmi et Cissi comment faisaient les suédois pour faire de la si bonne musique mais je ne suis même pas sûr qu’elles aient la réponse. Elles s’amusent épicétou.


Bon, c’est décidé, je veux monter un groupe suédois, qui est partant ?

Play with me





Je viens de découvrir un site exceptionnel. Qui va probablement devenir un de ceux que je visite les plus souvent. Son adresse : play.com. Son secteur : la vente de divers choses en musique, cinéma, Hi-Fi, habits, … Et ce qui me plait tient en quatre mots : frais de port gratuits. Pour tout, pour tout le monde, sans minimum d’achat et dans toute l’Europe !


Melody Gardot - Who Will Confort Me



Car oui, c’est un site anglais ; qui te permet donc d’accéder en avance à toutes les sorties anglaises. (c’est grâce à eux que j’écoute en boucle le dernier et magnifique album de Melody Gardot, depuis déjà plusieurs jours alors qu’il n’est pas sorti en France encore …). Là, un problème pourrait se poser, on pourrait être obligé de payer en Pounds et donc de perdre quelques euros en frais de conversion, mais non ! On peut aussi payer en euros, comme sur n’importe quel site français.

Dernier avantage, les prix. Je ne regarde pas vraiment le reste, mais la musique n’est vraiment pas chère. Surtout qu’ils soldent en ce moment.
J’avoue avoir eu peur d’un site foireux lors de ma première commande mais tout est arrivé en temps et en heure, sans problème (mis à part que le facteur a mis le colis dans la boîte de mon voisin qui a le même nom de famille que moi, et qu’il était en vacances pendant encore une semaine ce con). Du coup Mardi j’ai relancé une commande de quelques albums dont un Kings of Leon, un Arctic Monkeys et un Fleet Foxes.


En fait, l’avantage principal c’est d’acheter comme chez un disquaire, sans frais de port. Même pour un album à 4 euros. C’est la même chose que pour les livres sur certains site en France, comme Amazon (au hasard). Quand le disquaire ou le libraire du coin n’a pas ce que l’on veut, on peut maintenant l’acheter sur internet sans surplus (et même moins cher en général).


Plus d’excuse pour ne pas acheter de musique et de livres maintenant ! Avec moins de 7 euros tu peux t’acheter le premier album des Kings of Leon plus L'Art d'avoir toujours raison de Schopenhauer, c’est vraiment pas cher du tout. On dit que la musique est chère mais il y a des sites internet ou des magasins d’occasion où on peut trouver de supers prix.

Je ne comprends pas pourquoi la majorité des jeunes parlent de culture trop chère, alors qu’une place dans un Opéra (de province au moins) pour un étudiant, ça coûte 5 euros, que les romans de poche coûtent le même prix et que des centaines d’albums différents coûtent moins de 7 euros à la FNAC ou sur internet. Surtout qu’on ne les entend pas rechigner sur le prix de leur McDo à 7 euros et de leurs chaussures à 90 balles …

Est-ce que tu Base-ball ?





S’il est bien un sport typiquement américain, c’est le Baseball. Ils ont un terrain à la con, des règles à la con, une tenue à la con, des supporters à la con, etc.


David Bowie - Ground Control To Major Tom




Dimanche dernier pourtant, je suis allé voir un match de Baseball au stade. Oui oui, il y en a qui le jouent en France ! Et il y avait même des supporters ! Au moins … pfiouuuuuu … 20, facile ! (dont 5 sans lien de parenté avec les joueurs) Et c’était le gros match puisque les Arvernes de Clermont-Ferrand recevaient les Huskies de Rouen, triple champions de France en titre.

Quand je dis que les règles sont à la con, elles le sont vraiment. Par exemple, dans un match, il y a 9 manches (pourquoi 9 ?) divisées en demi-manches et ici, ils ont même décidé pour une raison mystérieuse de faire deux matchs par journée. Donc en gros, ça commence à 11h et ça finit à 17h. Ca n’atteint pas la longueur des matchs de cricket mais à la fin, t’es pas mécontent, j’vous l’dis. Surtout quand il y a des prolongations pour départager les équipes, comme entre les Arvernes et les Huskies …


Comme vous mourrez d’envie de connaître les règles (dites pas non, je le sens), je vais vous prouver rapidement sur quelques points qu’ils ont cherché volontairement à faire compliqué. C’est pas possible autrement.

Le lanceur doit lancer la balle vers le batteur dans une zone rectangulaire plus ou moins délimitée par les genoux et la ceinture du batteur ; et l’arbitre choisit si elle est bonne ou pas (paye ton impartialité quand la balle file à 150km/h). Le lanceur a le droit de lancer 3 mauvaises balles par batteur et le batteur a le droit de louper 2 bonnes balles. Si ce chiffre est dépassé, le batteur peut avancer à la première base ou revenir sur le banc, éliminé (respectivement).






Oui, c’est pas simple. Et là, ce sont juste les règles si ça va mal. Si ça va bien, le batteur tape la balle, mais ne doit l’envoyer ni trop à droite, ni trop à gauche, ni trop derrière (enfin, ça, il y a des règles bizarres que j’ai pas compris encore). Et puis il doit courir autour des bases, pour se faire généralement éliminer avant d’arriver à la première base car il ne tape pas assez loin. C’est comme ça qu’on arrive en 9 manches plus prolongation à un score passionnant de :

Huskies   0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
Arvernes 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0


Wéééééééééé, allez, encore une prolongation !

A cela, vous rajoutez des règles portant à polémique à chaque utilisation et des termes techniques comptabilisés sur la tableau de score, comme « Hit » ou « Er. » que l’on a mis environ 5h à comprendre. Le mieux étant qu’ils font des statistiques avec ces comptes (les sportifs américains aiment bien les stats) alors que ça ne veut presque rien dire sportivement. C’est comme si on comptait le nombre de fois qu’un tennisman fait rebondir la balle avant de servir ou le nombre de crachas d’un footballeur dans une partie.

D’ailleurs, cette passion des stats déteint sur les sports européens. Maintenant, les commentateurs footeux se prennent pour des génies en maniant des chiffres pour dire des choses aussi intelligentes que « depuis 1976, 48% des fois que l’équipe X marque entre la 35ème et la 40ième minute, elle gagne l’équipe Y*». (alors que ça n’arrive qu’une fois sur 100 quoi).


Bon, je ferme cette parenthèse qui m’énerve, et je conclus sur le Baseball. Ca peut être intéressant à voir de temps en temps quand même, parce que ça change. Mais heureusement que c’est gratuit, car vu le niveau des français, je doute d’y retourner sans ça. Question mode, pour finir, les supporters sont assez majoritairement des crétins jeunes** en jogging comme au foot, des anciens passionnés en jogging et des femmes de joueur en jogging aussi. Bref, pas passionnant, mais à faire un fois donc, par curiosité, surtout par grand soleil, car les tribunes sont bien orientées pour bronzer, et surtout si c’est gratuit …

C’était « découvre un sport avec un Gaby de mauvaise fois», la semaine prochaine, le curling (ou pas). Vive le rugby.



* Notez l’utilisation de l’expression favorite des footballeurs : « gagner une équipe », qui fait partie de la (trop) grande catégorie des expressions qui font mal aux oreilles avec, entre autres, « aller au coiffeur » et « j’ai tombé ma dent ».

** Oui, je retire le « crétins » car j’essaie de me persuader que des jeunes aux cheveux gominés, parlant fort, en jogging blanc et boucles d’oreille, se faisant des « gris gris » en se serrant la main ne sont pas forcément cons. Mais c’est pas si simple.

C’est quoi le rock ?





Voilà, en gros, la question que se pose Thomas VDB dans son dernier spectacle, que je suis allé voir la semaine dernière dans la banlieue clermontoise. Je crois que ça fait bien longtemps que je n’étais pas allé à un spectacle d’humoriste. Le dernier, ça devait être Raphaël Mezrahi quand j’habitais encore Toulouse, c’est dire !


Disco Ruido - Mrs. Love (et Thomas VDB en photo)



Les rares « grands » comiques qui me font rire en ce moment vendent leurs places super cher dans des Zéniths immenses, et je préfère autant rien dépenser et les voir à la télé (surtout qu’ils refont souvent la même chose à chaque spectacle). Ou revoir une vieille cassette des Inconnus, qui eux, peuvent refaire 20 fois Fort Boyaux à la suite et je me marrerais quand même.

Et puis les « petits » comiques, ceux qui font les petites salles avec de petits prix, tombent généralement dans l’humour vaseux —celui de Tonton Robert dans les repas de famille—, ils ne sont rarement plus drôles qu’un chroniqueur des Grosses Têtes et ils l’ont d’ailleurs souvent (la grosse tête). C’est pas pour rien qu’ils sont dans les nouveaux talents du rire sur Rires&Chansons depuis 10 ans …


MAIS (car il y a un mais) je me suis littéralement jeté sur les places de ce « petit » comique qu’est Thomas VDB. J’écoute régulièrement ses chroniques sur France Inter, Le Mouv’, Canal+, Taratata, etc. et je trouve ça drôle. Vraiment drôle. Sa façon de mêler humour et musique, j’aime beaucoup. Et son spectacle est encore mieux.




Il y raconte un peu son histoire de fan de rock, son ancien boulot dans un magazine musical (il était rédacteur en chef de Rock Sound) et ponctue le tout d’imitations assez mémorables. Notamment celle de Philippe Manœuvre :D


Pour une fois, on en a pour son argent. En plus, l’avantage de certains de ces « petits » spectacles c’est la simplicité du comédien. Parfois, ils viennent discuter et boire un coup avec vous après le spectacle, comme Thomas VDB, et parfois même, ils viennent vous offrir le goûter à 23h, avec Banga et Quatre-Quart, comme Raphaël Mezrahi ! (quel con de Mezrahi :D)


Bref, si vous avez l’occaz de voir ce comédien à la voix sympathique, n’hésitez pas, échangez vos places pour Bigard, vous ferez un bénéfice financier et humoristique … surtout si vous aimez le rock !

Mon grand-père ressemble à Clint dans Gran Torino





Dans le film d’Eastwood, il s’appelle Walt, dans ma vie il s’appelle Henri. C’est moins glamour mais c’est comme ça. Et puis on l’appelle Riquet ou Papou aussi, selon le degré d’intimité qu’on a avec lui.



Those Dancing Days - Those Dancing Days



Mon grand-père n’a pas fait la guerre de Corée comme Walt, mais il a grandi pendant l’occupation Nazie, alors question incompréhension des jeunes d’aujourd’hui il s’y connaît aussi. Il n’était pas militaire non plus, mais professeur de Technologie. C’était pas aussi dangereux à l’époque mais ça a tendance à le devenir dans certains quartiers aujourd’hui. Et c’est vrai, il ne bichonne pas une Gran Torino de 1972, mais un camping-car Citroën de la même époque. Là aussi, c’est moins glamour mais c’est comme ça.

Et malgré ces différences, mon grand-père vit comme Walt aujourd’hui. Sa femme est décédée il y a deux ans et sa seule compagnie quotidienne est celle de son chat, qui le suit depuis un bon bout de temps. Comme Walt, mon grand-père collectionne des tas d’outils et de machins inutiles dans son garage. Et il passe sa journée à réparer des choses, à bricoler. Comme Walt aussi, il se sent loin du monde actuel. Il grogne, s’obstine et râle contre tout. Il a ses habitudes et il s’y tient. Il ne chasse pas les cambrioleurs au fusil, comme Walt, mais à la pelle, et c’est tout aussi efficace. La conviction étant plus importante que l’arme utilisée …





Dans la conversation aussi, ils se ressemblent. Ils échangent peu de choses avec les autres et les discutions téléphoniques sont basiques et brèves. La communication n’est pas très simple.


En fait, je trouve que le film de Clint Eastwood, au delà de sa grande qualité scénaristique, décrit très bien ce moment de la vie où l’on a juste envie d’être tranquille et de rien changer. Je pense qu’une grosse partie des grands-pères que l’on a peuvent se retrouver dans ce film, pas tous bien sûr, mais beaucoup d’entre-eux. Et c’est aussi en ça qu’il est si bien.

Bref, Clint a encore réussi un grand film. On s'en lasserait presque :D

Tonton, ton thé t’a t’il ôté tatoo ?





Je suis rentré chez mes parents à Toulouse ce WE. Je devais refaire ma carte d’identité qui périme dans 2 semaines, et par fierté sudiste (pléonasme) je voulais avoir marqué Haute-Garonne sur ma carte. Bien que ça soit chiant de faire 8h de trajet aller-retour, c’était vraiment cool de retrouver mon ancien village et ses anciens habitants. Des gens que j’avais pas vu depuis des années et qui ont continué de vivre sans moi (si si, c’est possible). Les petits frères de potes que j’avais laissé à l’école primaire et qui me mettent maintenant 5cm dans la vue. Les petites sœurs qui sont devenues grandes (p’tain, si j’avais su, j’aurai gardé contact avec le frangin de certaines …).


Coldplay - One I Love




C’était vraiment un sentiment agréable. Bizarre, mais agréable. En plus j’ai appris qu’il y avait des vacances en ce moment ! J’avais pas l’impression que c’était si souvent avant ! Ils n’arrêtent pas ! Celles de Février étaient il n’y a vraiment pas longtemps ; je trouve que le temps passe vraiment plus vite quand on travaille …


Et puis en rentrant sur Clermont-Ferrand hier soir, je suis tombé sur une émission à la radio où ils parlaient des tatouages. Et là, ça a fait tilt. Moi qui me refusait à l’intrusion de tout corps étranger sur mon corps, type tatoo, piercing, je me suis dit « pourquoi pas ». Attention, ça ne veut pas dire que je me lance dans la recherche d’une boutique certifiée ISO 9000, 9001 et 9004 tout de suite, mais mon objection n’est plus et il se pourrait que, dans un avenir plus ou moins proche, je puisse envisager de penser à l’idée de réfléchir doucement sur le sujet.

Je ne sais pas vraiment si c’est cette émission ou le climat estival qui s’installe mais c’est comme ça. Je trouve ça plutôt fun et (souvent) graaave sexy d’avoir un tatoo sur le dos (non non, pas l’animal)(et non, pas le petit machin électronique qui faisait Bip Bip, non plus). La proportion de cours complètement zappés car la fille devant moi avait un tatouage en haut du dos est assez impressionnante. En fait, ailleurs que sur le dos, j’aime pas ; mais sur le dos … hummm !

Restent deux problèmes majeurs : le choix du dessin et le fait que ça soit irréversible. Pour les dessins, je trouve que les mieux sont les signes assez simples, genre dessins tribaux et farandoles et pour la prise de décision, je pense (et je crains) que j’aurai un peu de mal à me lancer dans quelque chose que je pourrai regretter toute ma vie. Mais on ne sait jamais, tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie !